La période estivale n’a pas été clémente pour les populations, notamment pour les travailleur.euse.s.
Les graves épisodes climatiques (inondations, incendies,…) dont la responsabilité appartient en grande partie aux (non) décisions des dirigeants passés et actuels, ont illustré en temps réel les nouvelles alertes des scientifiques spécialistes du climat (rapport du GIEC). Les conséquences sont dramatiques.
Les prix de l’énergie, de l’essence, du logement, des produits de premières nécessités ont continué d’augmenter. Pas les salaires, ni les pensions…
Plutôt que de permettre l’égalité d’accès à la vaccination et donc la levée des brevets, plutôt que de donner des moyens plus importants pour la santé publique, plutôt que d’agir pour la réduction des inégalités et la solidarité internationale, E. Macron continue de cibler les salariés et tente de les diviser.
Multirécidiviste en la matière, il a de nouveau acté des régressions sur le droit du travail avec notamment l’imposition du passe sanitaire et l’obligation vaccinale. Ainsi des millions de salarié.e.s se sont vu sous la menace de voir leur contrat de travail être suspendu ainsi que leur salaire. Quel salarié peut vivre sans salaire ? ! Depuis quand attaquer le Code du Travail aide à lutter contre des virus ? Le patronat a vu ses prérogatives augmenter et il en use allégrement…
MOBILISÉ.E.S par la GRÈVE et la MANIFESTATION
À Bordeaux à partir de 11h30, place de la République