Aujourd’hui de nouveaux chiffres tombent associés à de mirifiques qualificatifs permettant ainsi de rassurer l’actionnaire. Alors pour mieux le fidéliser, les dividendes seront copieusement réévalués. Evidemment pour ces messieurs du CAC 40, il serait déshonorant de faire une quelconque référence à l’indice INSEE de 2012 (+1,2%), celui qui sert d’étalonnage pour les négociations salariales.
Non l’actionnaire à le droit à plus d’égard et c’est à deux chiffres qu’il fixe sa croissance.
Les actionnaires de l’aérospatial ne connaissent pas la crise