COMPTE RENDU DE LA REUNION AVEC LE PDG
MR TRAPPIER
La réunion commença par la lecture des déclarations des trois organisations syndicales
CE, CFE /CGC, FO et CGT.
Concernant Poitiers
Départ du SPFDB :
Le PDG a donc souligné a de nombreuses reprises que le fait de libérer de la place était un atout pour l’établissement mais a aussi constaté la polyvalence des salariés. Il n’a pas donné d’éléments concernant les prochaines fabrications qui viendraient remplacer le SPFDB mais nous a oriente sur le fait qu’il équilibrera la charge entre les établissements et qu’il ne nous laissera pas au bord de la route.
Politique d’embauche :
Sur les embauches, notre PDG a déclaré qu’il ne laissera pas mourir Poitiers et qu’il s’attachera à toujours garder un effectif qui serait en adéquation avec la charge de travail compte tenu de la prévisible remontée en puissance des ventes. Pour lui, son inquiétude se situe plutôt sur la vente du RAFALE et la relance du civil ce qui serait un avantage certain pour notre établissement mais aussi pour l’ensemble des sites.
Politique salariale :
Aucun commentaire de sa part sur les NAO.
Sur le reste :
Dans le débat avec le PDG a été abordé la minimisation de l’intérim et un agrandissement des sous-traitants sur place et de la sous traitance en règle générale.
Il a aussi parlé de l’APTT qui est un accord qui doit être renégocié, les lois ayant évoluées depuis 20 ans. Un constat va être fait avec les organisations syndicales et que le temps serai pris afin que tout le monde si retrouvent (nous y veilleront avec les salariés).
Il a souligné le niveau d’investissement du personnel sur le contrat INDE et à apprécié le savoir-faire et les compétences professionnelles du personnel, ce qui pour lui est un atout.
Quelques réflexions de sa part qui, pour nous, marque un changement par rapport à l’ancien PDG : beaucoup d’optimisme, la prise en compte de la sécurité, de l’ergonomie et de la santé au travail , mais aussi, une prise de conscience de sa part que les indicateurs que lui fournissent ses subalternes ne sont pas toujours révélateurs des faits sur le terrain.
Commentaire CGT :
Nous constatons un changement de dialogue par rapport à son prédécesseur, une approche plus concrète, peut-être va-t-il prendre conscience que si nos avions ont des problèmes de qualité et son cher à réaliser, la faute n’en incombe pas à ceux qui les fabriquent, mais à la méthode mise en œuvre pour les réaliser et là, c’est l’organisation du travail, mais absolument pas l’organisation du temps de travail qui est en cause.